Points de vente : pourquoi et comment attirer une clientèle sénior ?

Dans une société focalisée sur la jeunesse, s’organiser pour attirer une clientèle sénior en point de vente s’avère souvent être une stratégie gagnante. Zoom sur une cible souvent délaissée, voire négligée, mais qui pourtant est pleine de ressources et n’a pas fini de faire parler d’elle !

Clientèle sénior, de qui parle t­’on ?

Des 50 ans et plus… Ils représentent aujourd’hui un tiers de la population et sont de plus en plus nombreux. Deux facteurs à ce vieillissement démographique : l’allongement de la durée de la vie et la très prolifique génération des baby­boomers qui a pris de l’âge.

Malgré les stéréotypes persistants, les séniors représentent donc une tranche d’âge large et hétérogène, qui pour une large majorité, n’est pas concernée par les problématiques liées au grand âge. Les séniors se sentent d’ailleurs de plus en plus jeunes. Kantar Media, qui mesure chaque année les âges réels et ressentis de la population, observe chez les séniors des écarts de l’ordre de 15 ans !

Les séniors sont donc des personnes qui se veulent toujours jeunes, mais dont les changements de vie (l’envol des enfants, la fin du remboursement du crédit de la maison, les joies de la grand­ parentalité, la retraite…) vont modifier les comportements de consommation.

Pourquoi attirer une clientèle sénior ?

Tout simplement, parce que les séniors représentent la moitié de la consommation nationale ! Négligez cette cible, au pouvoir économique indéniable, serait donc fort dommage… D’autant plus que cette clientèle se caractérise par un autre aspect non négligeable : elle a du temps pour consommer !

Pourtant, un constat assez paradoxal s’impose, les marques et les enseignes, à moins qu’elles n’aient une offre exclusivement destinée à cette population, boudent les séniors et préfèrent s’adresser à la jeunesse, par peur sans doute d’être cataloguées ou de vieillir leur image.

Comment attirer une clientèle sénior ?

Le sénior est averti et expérimenté. Les artifices de la société de consommation ne l’impressionnent plus, il a appris à décrypter les messages marketing depuis belle lurette. Ainsi, il succombe peu aux achats d’impulsion et se laisse moins séduire par la nouveauté que ses cadets. La qualité, la sécurité et l’origine des produits sont des éléments déterminants dans ses actes d’achat. Le critère du prix, s’il reste décisif, perd sensiblement de son importance.

Mais globalement, le sénior n’attend pas une offre très différente et souhaite même consommer comme les jeunes. Il déteste ou ne se sent pas concerné par les offres stigmatisantes ou stéréotypées. En revanche, il attend du point de vente des conditions optimales de consommation, à savoir :

  • ●  De l’accueil : pour le sénior, la relation humaine a tout son sens dans le point de vente. En termes d’accueil et de prise en charge, il attend donc du vendeur un niveau d’expertise élevé. Pour autant, bien que le numérique ne soit pas aussi intuitif pour lui que pour les jeunes, il n’est pas réfractaire aux nouvelles technologies, contrairement à ce que beaucoup pensent.
  • ●  Du confort : ambiances olfactives et sonores, bien­ être visuel et auditif, température modérée, espace, accessibilité…, sont autant de facteurs qui contribuent au confort de tous, et particulièrement à ceux du sénior qui y est encore plus sensible !
  • ●  Des services : s’il en est un qui est attaché aux différents services que le point de vente met en place, c’est bien le sénior. Il a d’ailleurs une grande reconnaissance envers les enseignes qui savent le satisfaire à ce niveau, et les récompense par sa fidélité. Exigeant mais fidèle, le sénior est un client intéressant, ne serait­ ce que par son pouvoir d’achat et le temps dont il dispose pour consommer. Attirer une clientèle sénior, c ’est du bon sens et des résultats mesurables à court terme sur l ’ ensemble des indicateurs de performance du point de vente.

Source : Commerce Life

Idées originales pour remplir votre boutique pendant les périodes creuses

Pics d’activité intenses et périodes creuses, tel est le quotidien de nombre de commerçants au sein d’une même journée. Lisser les flux de clients tout au long de la semaine et de la journée, un défi difficile à relever, mais pas impossible. En tous cas, il existe des techniques pour inciter ceux qui le peuvent à se déplacer au moment où la fréquentation est moindre, afin de désengorger le magasin sur les périodes plus intenses.

Communiquer sur ses périodes creuses, une idée simple mais à creuser…

Les retraités (qui n’ont que cela à faire) font leurs courses le samedi pour embêter ceux qui travaillent ! Cette remarque, émanant de la population active, est récurrente… Mais combien de personnes sans contraintes horaires (qui soit-dit en passant sont loin de se limiter aux retraités) seraient prêtent à se déplacer durant les périodes creuses de leurs commerçants si seulement elles les connaissaient, afin d’être servies plus rapidement et éviter la file d’attente ? Pourquoi le boucher n’affiche-t-il pas tout simplement sur sa vitrine et/ou son site internet les horaires où il est capable de servir le steak haché dans la minute ? Prenons l’exemple des hôtels, nombre d’entre eux communiquent sur la fréquentation de la salle de restauration au moment du petit déjeuner… Après aux clients de s’organiser en fonction de leurs contraintes et attentes !

« Happy hours » en point de vente pour défier les périodes creuses !

Les « happy hours », des petits prix aux périodes creuses pour attirer les clients…, cette stratégie ne date pas d’hier et est bien connue des bars et des restaurants, mais aujourd’hui des commerces en tout genre l’adopte et il n’est pas rare de trouver une paire de chaussures à -20% hors périodes de soldes et de déstockage, simplement parce qu’on est mardi entre 15 heures et 17 heures (et que le point de vente a pu observer au travers ces historiques de mesures de fréquentation que c’est une plage horaire particulièrement déserte). L’idée est bonne et peut être reprise par tout type de commerces. De nombreuses études tendent à prouver que le client, toujours en quête de bonnes affaires, consomme davantage durant ces opérations promotionnelles, par conséquent, tout le monde s’y retrouve !

Des deals Groupon valables uniquement sur les périodes creuses

Il y a peu de temps, nous proposions un article sur l’opportunité du deal pour les commerçants. Une fois les périodes creuses clairement identifiées, pourquoi ne pas proposer des deals valables uniquement sur ces temps de faible activité ? Le concept est très apprécié des restaurateurs, coiffeurs et autres activités liées au bien-être, mais peut s’adapter également à toutes les activités du retail. Le deal génère du trafic en point de vente, autant qu’il le fasse au moment où la fréquentation est moindre. La marge sur l’article qui fait l’objet du deal n’est peut-être pas très intéressante, mais c’est l’occasion de faire des ventes additionnelles et surtout de se faire connaître d’une nouvelle clientèle qui n’aurait peut-être jamais ouvert la porte de la boutique sans cela.

Source : Commerce Life

Commander ses courses et ses repas sur la même plate forme

Migros Genève s’allie à la plateforme de commande de repas en ligne Smood, pour la livraison express de ses produits. Un partenariat jugé stratégique dans un marché soumis à forte concurrence, où les frontières entre commerce de détail et restauration tendent à s’estomper

Les puristes peuvent souffler; ils pourront même commander le vin de fondue en ligne. Annoncé à la presse lundi, le partenariat entre Migros Genève et la société de livraison de repas Smood devrait intégrer prochainement aussi l’offre des caves à vin Nicolas, partenaires du géant orange. Ces boissons devraient s’ajouter «dans les mois à venir» aux quelque 2500 références disponibles dès mercredi dans le canton sur la plateforme de vente en ligne, a promis Marc Aeschlimann, patron de Smood. Cette nouvelle alliance dédiée au commerce en ligne réduit encore un peu la distance entre supermarchés et restaurants.

Sur un marché de la livraison qui compte déjà de nombreux acteurs, à commencer par le supermarché en ligne LeShop.ch, filiale du groupe Migros, les deux partenaires misent sur la rapidité: «Le temps de livraison sera de 45 minutes, dans tout le canton, pour une commande minimale de 15 francs seulement», a précisé Marc Aeschlimann. Pour Migros Genève, il s’agit aussi de s’allier avec un partenaire «en ligne avec la philosophie de l’entreprise», a souligné Didier Eicher, membre de la direction de Migros Genève

Se distancier des polémiques
Autrement dit, une société éloignée des polémiques, contrairement au service de livraison Uber Eats, filiale de la société de chauffeurs Uber, régulièrement sous le feu des critiques pour ses pratiques sociales controversées. Détail cocasse, Migros Zurich s’est fait épingler ce week-end par la SonntagsZeitung pour son service de livraison de courses entre particuliers, nommé Amigos: celui-ci faisait appel à des chauffeurs indépendants, jusqu’à ce que la caisse AVS du canton ne tranche récemment en les considérant comme des employés du géant orange.

«Nous travaillons avec des livreurs qui sont nos salariés. Par ailleurs, nous payons nos impôts et la TVA en Suisse», a coupé court Marc Aeschlimann.

Le prix de livraison, dès 4,85 francs, correspond à ceux du marché. Et, à moyen terme, Smood envisage d’étendre les horaires de livraison, pour l’instant identiques à ceux d’ouverture des magasins, aux soirées et au dimanche, a ajouté Marc Aeschlimann.

Cette alliance gomme encore un peu les étroites frontières entre commerce de détail et restauration. Une tendance croissante, «étroitement liée aux nouvelles habitudes de consommation, qui elles-mêmes sont influencées par divers facteurs démographiques: projets familiaux plus tardifs, davantage de ménages composés d’une personne, ou encore une mobilité du travail accrue, notamment», analyse Marco Vincenzi de l’institut BAK Economics.

Conséquence: les gens cuisinent moins. Pour les détaillants, ces offres de plats cuisinés permettent de contrer le glissement des revenus vers la restauration rapide et même de les étoffer quelque peu avec des marges plus intéressantes sur les produits finis, poursuit l’expert. En témoigne la multiplication des points de vente mêlant supermarché, café et petite restauration par Migros, mais aussi de Coop, ou encore des boulangeries Pouly, principalement dans les lieux de passage comme les gares.

Connaître son client
«Les distributeurs cherchent en outre à se rapprocher toujours plus du consommateur final pour connaître et ainsi anticiper au mieux ses attentes», observe de son côté Markus Koch, spécialiste du secteur des produits industriels et de consommation au sein du cabinet de conseil Deloitte Suisse. L’utilisation de plateformes en ligne, qui gèrent la vente et la livraison, permet d’affiner ces connaissances. «Leur apparition a aussi, en un sens, obligé la distribution à se numériser: si elles ne s’emparent pas de ces données, d’autres le feront à leur détriment», poursuit l’expert.

Les restaurateurs traditionnels sont quant à eux confrontés à une baisse de leurs chiffres d’affaires, à la faveur de la restauration rapide. «La livraison de repas leur permet de pallier quelque peu ce phénomène», constate encore Markus Koch.

Enfin, pour Smood, cette alliance conclue avec Migros, «c’est une manière de diversifier ses activités, dans un marché de la livraison soumis à une concurrence toujours plus forte, avec un nombre d’acteurs appelé à croître encore», conclut l’expert.
Lien vers l’article
https://www.letemps.ch/economie/commander-courses-repas-meme-plateforme

Comment professionnaliser un emailing

Les actions préalables au lancement d’une campagne e-mail
La campagne d’email, est une séquence de plusieurs mails que l’on prépare et envoie sur une courte durée à une audience. Il existe la possibilité d’envoyer des emails manuellement ou de créer une campagne avec des auto-répondeurs (emails envoyés automatiquement).

Pour mener à bien toutes les étapes de ta campagne emailing, il est nécessaire de bien s’organiser dès les débuts. La mise en place d’un rétroplanning détaillant chaque étape est fortement recommandée. Cela vous permettra de savoir à quel moment mener telle ou telle action.

Avant de vous plonger dans la rédaction du message ou dans la construction graphique de votre email, il va falloir définir l’objectif de votre campagne. En effet, il ne sert à rien de se lancer dans une communication sans savoir pourquoi on la fait. Vous devez au préalable vous fixer un objectif clair : conquête, fidélisation, …

Après avoir défini votre but vous devrez impérativement segmenter votre base de données en fonction de critères prédéfinis en amont. Pour un maximum de conversion, il est conseillé de ne pas envoyer le même message à des profils différents. Pour se faire , il suffit juste que votre base de donnée soit triée et rangée en fonction des différents segments de votre cible, cette tâche sera plus facile à réaliser si vous avez le soin de créer des groupes. Vous pourrez vous baser sur leurs caractéristiques pour rédiger des messages qui leurs correspondent le mieux.

Pour finir, pensez à déterminer la période de lancement de votre campagne emailing. Quel jour et à quelle heure envoyer vos mails ? Pour répondre à cette question il est judicieux de se demander quand les prospects sont le plus susceptibles d’ouvrir un message. Un brainstorming, ou encore de nombreuses études présentes sur le web, vous permettront de déterminer la meilleure période pour l’envoi d’un mail.

Les phases de création de l’e-mail
Au niveau des étapes de création, la première phase est bien sûr la rédaction du contenu de votre e-mail et sa mise en forme graphique. C’est le centre de votre campagne il doit être original, unique et attrayant si vous tenez à obtenir un taux de conversion satisfaisant.

Une fois le contenu prêt il faut trouver la bonne accroche qui emmènera les destinataires à ouvrir vos e-mails. On arrive dès lors à l’optimisation de l’objet du message, il ne faut pas qu’il soit trop long, ni trop promotionnel. Ce doit être un juste milieu entre une accroche commerciale et du contenu original qui va susciter l’intérêt de vos clients.

Votre e-mail est ouvert, votre prospect est en train de lire votre message, vous avez besoin de le rediriger vers votre site web, utilisez un call-to-action. Vous pouvez le placer à un endroit stratégique de votre contenu afin d’inviter vos lecteurs à aller sur votre site dans le but de tester/acheter un produit ou service. Un bon call-to-action bien choisi et bien placé est un véritable gage de performance.

Pour maximiser les chances d’ouverture et de conversions, il vous faudra vous adresser de manière personnalisée à vos différents destinataires. Monsieur, madame en fonction du sexe, plus un nom ou prénom, ce sont déjà les bases d’une bonne campagne d’e-mailing. Ensuite le contenu doit être adapté à chaque cible. On n’envoie pas le même message à un étudiant, à une mère de famille vivant à la campagne ou encore à un cadre supérieur urbain…

Dernier point et celui-ci est obligatoire, vous devez insérer un lien de désabonnement dans vos mails conformément à la loi. En effet, vos abonnés doivent pouvoir se désinscrire quand ils le souhaitent et de manière simple.

Après l’envoi, la mesure des performances
Après le lancement de votre campagne, vous devrez l’analyser afin de mieux l’optimiser la prochaine fois. Les zones cliquables de votre e-mail doivent être traquées pour en évaluer les performances. Pas d’inquiétude la plupart des services d’emailing vous le proposent d’office.

sourcehttps://blog.yapoyaou.com/la-creation-dun-emailing-professionnel-reussi/
Roxane Koffi Paul

Les concepts hybrides / Les lifes stores

C’est une donnée qui se vérifie d’année en année : Le nombre de surfaces commerciales disponibles augmente

Les raisons majeures ?

  • Le prix des loyers trop élevé
  • La concurrence exponentielle du e-commerce
  • L’obsolescence des concepts-stores
  • Le tourisme d’achat
  • L’offre physique du commerce de détail


Nous vous apprenons à anticiper les nouvelles tendances, les nouvelles méthodes de vente et vous soutenons pour pérenniser votre enseigne. Ne vous laissez pas dépasser par le temps, ni par les habitudes.

Point de vente, surface

Dans un monde concurrentiel accru, seules la performance de service, l’expérience d’achat irréprochable et la différentiation de vos produits font que vous restez sur le marché.

Mais aussi l’occasion de se former aux nouvelles tendances ou d’anticiper les codes de consommation avant d’arriver trop tard.

Clémence Triquet, spécialiste architecture Retail & Merchandising

Partenaire DLM management

Le commerce de proximité revient…

A l’heure du développement des achats en ligne, de la consommation immédiate, de l’obsolescence des produits et même de l’obsolescence de nos envies, se dessine à l’horizon un besoin fondamental : 

Retrouvez les valeurs de la qualité.

En effet, le commerce de détail subit depuis des années des turbulences. Les commerçants ne disposant pas de ressources financières (85% d’entre-eux) il s’avère souvent difficile de faire peau neuve.

La problématique des loyers persiste, s’agissant de la source de dépenses souvent lourde de conséquence sur la pérennité des enseignes.

Oui les politiques ont un devoir :

  • Offrir des conditions et des plans de quartiers incitateurs de fréquence
  • Travailler sur la pénétrabilité des centres-villes (circulation)
  • Mettre à disposition suffisamment de places de parc
  • Etre à l’écoute des commerçants sur les plages horaire d’exploitation
  • Offrir à la population des moyens de transports efficaces

Mais au fond, si toutes ces conditions sont réunies… pensez-vous réellement qu’il ne manquera encore pas un petit quelque chose ?

Je n’ai pas peur de vous l’affirmer : ce petit quelque chose, c’est la qualité de service.

Aujourd’hui, un commerçant, une enseigne, une boutique, un restaurateur doit se poser ces quelques questions et surtout avoir l’envie d’y apporter les éléments de réponses.

  • Est-ce que je vends les bons produits face à la concurrence ?
  • Retrouve-t-on ma passion dans mes produits ?
  • Mes produits sont-ils vecteurs de valeur ajoutée ?
  • Mon étal fait-il envie ?
  • Me suis-je déjà mis à la place de mes clients ?
  • Suis-je prêt pour la saison à venir ?
  • Fais-je réellement du chiffre d’affaires qualitatif ?
  • Mon commerce survivra-t-il aux nouveaux trends ?

En effet toutes ces questions semblent légitimes mais détrompez-vous.

Dans la majorité des cas, elles ne sont pas abordées.

Dans les années 90, la mondialisation a pris le dessus.

Vendre et acheter n’importe quoi, plus il y avait de choix mieux c’était. Les modèles d’affaires fleurissaient.

Mais aujourd’hui, non seulement le commerce en ligne se développe exponentiellement mais nous devons considérer que nous entamons un processus de consommation responsable.

En conclusion : Les commerces physiques de qualité seront recherchés à l’avenir. Les consommateurs reviennent à la qualité du produit, de son origine, de son ADN. La qualité de service et l’expérience d’achat doivent suivre, c’est une certitude.

A l’heure de la viralité de l’info : soyez prêts en amont !

David Lemoine, DLM management

Des théories à faire décoller des fusées ? Non…pas chez nous.

 

Pourquoi avoir créé DLM management ?

Dès sa création, l’objectif de DLM management est de soutenir les artisans et commerçants liés au commerce de détail en agissant simplement, au moyen d’une offre dynamique de qualité, orientée sur :

  • Les surfaces de vente
  • Les produits
  • Les équipes

Comment DLM management intervient-il dans votre activité ?

A la suite d’une première analyse réalisée au cœur même de votre business, un expert parmi notre équipe composée de professionnels du commerce de détail, prend le relais et vous accompagne dans la mise en place de mesures à réaliser pour développer votre activité, selon vos besoins et attentes.

Nos expertises sont de nature complémentaire et additionnelle. Par exemple, une mesure apportée à la mise en valeur d’une surface de vente en magasin peut se complémenter par une amélioration du domaine de la communication digitale, dans une seule et même conception stratégique de développement.

Comment peut-on se former simplement grâce à DLM management ?

En complément de nos expertises, nous avons mis en place la RETAIL ACADEMY. Tout au long de l’année, vous avez la possibilité de vous former, ainsi que vos collaborateurs, dans les domaines suivants :

  • Le Savoir-faire (Visual merchandising, storytelling de marques, …)
  • Le Savoir-être (comportemental, techniques de vente, …)
  • Le marketing digital (communication numérique sur le web ou les réseaux sociaux)

Ces formations peuvent avoir lieu à l’interne ou en interentreprises, selon la thématique et les objectifs fixés en accord avec les participants.

Quel est l’objectif de DLM management pour 2018 ?

Que vous soyez commerçant de centre-ville ou à plus grande échelle, nous avons un objectif : valoriser votre savoir-faire à travers les nouvelles tendances qui évoluent en permanence.

Comment générer de la fréquence en magasin grâce à la campagne digitale ?

Qu’elle soit digitale ou plus traditionnelle, une campagne marketing comporte quelques principes similaires. En voici une définition:

 » Ensemble d’actions marketing cohérentes mises en œuvre durant une même période et visant à promouvoir un même produit ou service. « , issue de e-marketing.fr (consulté le 12.12.2017)

De plus, pour bien comprendre la fonction du marketing digital, en voici également une définition:

 » Le marketing digital, également couramment appelé marketing numérique, désigne l’ensemble des techniques marketing utilisées sur les supports et canaux digitaux. Le terme est probablement appelé à disparaître dans la mesure où le marketing a tendance à devenir « par essence » digital. « , issue de Définitions-marketing (consulté le 12.12.2017)

Comme le montre une étude récente, 87% des clients ayant acheté un produit en magasin ont recherché des informations au préalable grâce au e-commerce. Or, comment mesurer le taux de conversion de la clientèle, sur la simple base d’une campagne digitale ?

Pour ce faire, de plus en plus de spécialistes affirment que l’analyse du comportement du client ne peut désormais plus se résumer uniquement au moment de la finalisation de l’acte d’achat, mais au contraire durant toute l’expérience d’achat.

De plus, le taux de conversion d’un visiteur en client ne se situe plus sur un seul axe d’étude. En effet, un client séduit par une campagne digitale peut vouloir se rendre en magasin pour acheter son produit. De même qu’une personne peut souhaiter obtenir des renseignements auprès d’un vendeur avant d’effectuer son achat en ligne, plutôt que d’appeler une centrale téléphonique ou de dialoguer avec un serveur web.

Afin d’optimiser la fréquence en magasin en fonction du ROI (Retour sur investissement), voici 3 axes d’interventions recommandés :

Le RoPo.  » Research Online/Offline, Purchase Online/Offline « . Cet outil permet de mesurer le comportement de la clientèle, afin d’adapter régulièrement les moyens de communication à utiliser pour tel ou tel produit. A noter que l’impact du RoPo est plus important pour des produits d’équipement (ameublement, électro-ménager, etc.) que pour des produits de grande consommation.

Le SoLoMo.  » Social, Local, Mobile ». Cet outil désigne généralement l’ensemble des applications marketing et commerciales liées simultanément aux applications sociales , locales et mobiles du marketing digital. Par exemple, il est possible de créer du contenu spécifiquement accessible en fonction de la géolocalisation d’une personne, au moyen des coordonnées GPS de son smartphone. De plus, cette personne peut indiquer où elle se trouve via les réseaux sociaux; cette information devenant ainsi un moyen de communication indirect pour le magasin.

Le service-client. Alors que l’essor de nouvelles technologies toujours plus performantes semble sans fin, la qualité du service-client en magasin constitue l’élément clé de la fidélisation du client sur le long terme. En effet, le client recherchera toujours un contact humain pour se rassurer et finaliser ses choix, avant de prendre une décision d’achat.

En conclusion, générer de la fréquence en magasin grâce à la campagne digitale est un plus, mais fidéliser la clientèle au moyen du contact humain fera encore toute la différence.

la démonstration d’un produit

 

Tout d’abord, voici une définition du mot « démonstration » :

 » Présentation d’un bien ou d’un service dans les conditions d’utilisation requises. L’acheteur potentiel percevant ainsi plus aisément les modalités d’utilisation ou de consommation du bien ou du service concerné, il peut être plus enclin à en faire l’acquisition. « , issue de E-marketing.fr (consultée le 21.11.2017)

Une démonstration de qualité permet de capter l’attention du client et de l’encourager à réaliser un acte d’achat en particulier. Plus le client s’identifie au produit qu’il désire acquérir, plus il sera en mesure d’apprécier l’opportunité que représente l’offre qui lui est proposée. Cette démonstration peut notamment se dérouler :

  • Sur le lieu de vente en magasin
  • Sur la voie publique
  • Au domicile du prospect

En magasin. Sur le lieu de vente, les conditions sont généralement plus favorables au commerçant, car il peut aisément théâtraliser sa démonstration et faire en sorte que le client soit acteur de son acte d’achat, tout en s’assurant de maximiser son niveau de concentration. En quelque sorte, le vendeur est « chez lui » et a donc un avantage sur le client.

Sur la voie publique. Vendre sur la voie publique revient davantage à réaliser une négociation  » en terrain neutre « . En effet, les conditions de ventes sont plus contraignantes, notamment en raison des conditions météorologiques variables, ou encore par la présence de concurrents potentiels, par exemple, lors de marchés ou de foires. Or, le client doit faire la démarche de s’arrêter sur le stand, s’il souhaite réaliser un acte d’achat.

A domicile. Contrairement à la vente en magasin ou lors d’une vente sur la voie publique, la vente à domicile est davantage favorable au client. En effet, c’est lui qui dicte le rythme de la présentation, en fonction de ses contraintes personnelles (interaction avec les proches, appel téléphonique, etc.). La qualité de la démonstration devra donc être plus élevée, afin que le client y consacre toute son attention. En quelque sorte, le client a donc un avantage sur le vendeur.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous présente quels sont les pourcentages d’informations importantes sur un produit qu’un client retient après 3 heures ou 3 jours, en fonction du type et la qualité de la démonstration choisis.

Mesurer le coût d’opportunité grâce à la méthode SPIN

 

Tout d’abord, voici une définition du concept de «  coût d’opportunité » :

 » Le coût d’opportunité (ou coût d’option) est un concept économique qui permet de désigner la valeur de la meilleure option non réalisée ou le coût de l’investissement des ressources disponibles au détriment des investissements alternatifs disponibles. « , issue de « Les Définitions, le dico des définitions » (consulté le 14.11.2017)

En macroéconomie, l’analyse « coûts-bénéfices » (souvent abrégée ACB) propose 3 critères pour évaluer un coût d’opportunité lors d’une prise de décision:

  • Le renoncement à toute autre option
  • Le coût d’un investissement non réalisé
  • Le risque accepté de non rentabilité

Le renoncement. Lorsqu’une ou plusieurs solutions sont potentiellement envisageables, des critères macroéconomiques permettent de choisir la meilleure option à appliquer. Or, en terme économique, le fait de renoncer à une option au profit d’une autre peut représenter une perte, la plupart du temps intangible, car elle n’engendre pas de dépense réelle d’argent. Chaque renoncement constitue une part du coût d’opportunité.

L’investissement non réalisé. Pour mesurer le coût total d’un investissement non réalisé, il faut tenir compte de toutes les charges liées à cet investissement, comme s’il avait été réalisé. Une fois que toutes les dépenses ont été calculées, le bénéfice potentiel est ajouté aux pertes, de par le renoncement à cette option.

Le risque accepté. Chaque option représente un risque en terme de rentabilité. De ce fait, le coût d’opportunité peut également être estimé en tenant compte du risque accepté. Ce critère d’analyse permet de comparer le risque de plusieurs investissements possibles, au moment de la prise de décision. Pour que le gain estimé d’une solution choisie soit optimal, il doit être au moins égal au coût d’opportunité.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous présente la méthode SPIN, outil qui permet de mesurer quels sont les besoins du client et de lui permettre d’identifier les risques d’un renoncement à utiliser vos services, en fonction de sa situation, des problèmes à résoudre, du degré d’implication nécessaire et de ses besoins en paiement.

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