Des théories à faire décoller des fusées ? Non…pas chez nous.

 

Pourquoi avoir créé DLM management ?

Dès sa création, l’objectif de DLM management est de soutenir les artisans et commerçants liés au commerce de détail en agissant simplement, au moyen d’une offre dynamique de qualité, orientée sur :

  • Les surfaces de vente
  • Les produits
  • Les équipes

Comment DLM management intervient-il dans votre activité ?

A la suite d’une première analyse réalisée au cœur même de votre business, un expert parmi notre équipe composée de professionnels du commerce de détail, prend le relais et vous accompagne dans la mise en place de mesures à réaliser pour développer votre activité, selon vos besoins et attentes.

Nos expertises sont de nature complémentaire et additionnelle. Par exemple, une mesure apportée à la mise en valeur d’une surface de vente en magasin peut se complémenter par une amélioration du domaine de la communication digitale, dans une seule et même conception stratégique de développement.

Comment peut-on se former simplement grâce à DLM management ?

En complément de nos expertises, nous avons mis en place la RETAIL ACADEMY. Tout au long de l’année, vous avez la possibilité de vous former, ainsi que vos collaborateurs, dans les domaines suivants :

  • Le Savoir-faire (Visual merchandising, storytelling de marques, …)
  • Le Savoir-être (comportemental, techniques de vente, …)
  • Le marketing digital (communication numérique sur le web ou les réseaux sociaux)

Ces formations peuvent avoir lieu à l’interne ou en interentreprises, selon la thématique et les objectifs fixés en accord avec les participants.

Quel est l’objectif de DLM management pour 2018 ?

Que vous soyez commerçant de centre-ville ou à plus grande échelle, nous avons un objectif : valoriser votre savoir-faire à travers les nouvelles tendances qui évoluent en permanence.

La Retail Academy: ou comment renforcer votre Daily Business

 

Tout d’abord, voici une définition du mot retail (commerce de détail en anglais) :

« Le commerce de détail est l’activité commerciale effectuée à destination du consommateur final qui consiste à vendre un bien dans l’état où il a été acheté. », issue de Définitions-marketing (consulté le 5.12.2017)

Pour qu’une activité commerciale soit saine et pérenne sur le long terme, la qualité du daily business doit être optimisée au moyen de processus de communication interne et externe, régulièrement mis à jour. Plus le daily business est opérationnel, plus le chiffre d’affaires potentiel au quotidien est élevé.

Afin de vous accompagner au plus près de vos besoins, notre Retail Academy est à votre disposition, dans laquelle nous proposons 12 thèmes de formations, orientés sur 3 axes principaux :

L’humain. Selon les principes de savoir-être ainsi que de communication orale et non verbale, une relation de confiance s’établit entre le vendeur et le client au fur et à mesure de leurs échanges. Plus l’expérience d’achat est positive pour le client du point de vue relationnel, plus le taux de conversion sera élevé, ainsi que la probabilité que le client satisfait soit fidélisé sur le long terme.

Le produit. Qu’il soit de fabrication artisanale ou industrielle, la mise en valeur du produit en magasin constitue un des éléments clés du savoir-faire du commerçant. Pour se faire, il est essentiel que la gamme des produits vendus soit en adéquation avec le type de clientèle ciblé, tout en respectant le principe de saisonnalité.

Le digital. Avec l’essor constant de nouvelles technologies toujours plus performantes, la communication digitale, aussi bien sur le web que sur les réseaux sociaux, représente un axe de développement incontournable. En effet, de plus en plus de clients vivent leur expérience d’achat au gré des informations qu’ils trouvent en ligne avant de se rendre en magasin. C’est pourquoi, il est important de mettre en place un service-client de qualité, qui tienne compte de cette dualité « présentielle/numérique » en terme de clientèle cible.

La communication non verbale

 

Tout d’abord, voici une définition du comportement non verbal :

« Le comportement non verbal désigne le comportement observé chez un interlocuteur lors d’un entretien de vente. Il comprend notamment la gestuelle (mouvements, position du corps, etc..), les regards et les mimiques. », issue de Defintions-marketing (consulté le 27.11.2017)

Lors d’une expérience d’achat, la communication non verbale de l’acheteur (tout comme celle du vendeur) représente une source riche d’informations. 3 canaux permettent de l’analyser :

  • Le langage corporel
  • L’élocution
  • La tenue vestimentaire

Le langage corporel. Parmi les spécialistes de la communication non verbale, il est communément admis que le corps ne ment jamais. En effet, il est très difficile de masquer une réaction spontanée du corps en lien avec une information donnée, alors qu’il est plus facile de ne pas répondre verbalement à une sollicitation. Chaque geste, aussi infime soit-il, constitue une information visuelle supplémentaire au message verbal.

L’élocution. En complément du langage corporel, le ton de la voix apporte une information complémentaire au contenu du message délivré verbalement. En fonction des émotions que ressent le locuteur, par exemple de la peur ou de la colère, la qualité du message peut être altérée.

La tenue vestimentaire. Au même titre que le langage corporel ou l’élocution, la tenue vestimentaire envoie un message non verbal fort. En effet, une personne peu soignée donne une image négative, ce qui décrédibilise ses propos. De plus, en ce qui concerne le vendeur, sa communication non verbale fait partie intégralement de l’image de marque du commerce.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous présente la décomposition type d’une communication orale, ainsi que les principaux moyens d’expression du vendeur.

la démonstration d’un produit

 

Tout d’abord, voici une définition du mot « démonstration » :

 » Présentation d’un bien ou d’un service dans les conditions d’utilisation requises. L’acheteur potentiel percevant ainsi plus aisément les modalités d’utilisation ou de consommation du bien ou du service concerné, il peut être plus enclin à en faire l’acquisition. « , issue de E-marketing.fr (consultée le 21.11.2017)

Une démonstration de qualité permet de capter l’attention du client et de l’encourager à réaliser un acte d’achat en particulier. Plus le client s’identifie au produit qu’il désire acquérir, plus il sera en mesure d’apprécier l’opportunité que représente l’offre qui lui est proposée. Cette démonstration peut notamment se dérouler :

  • Sur le lieu de vente en magasin
  • Sur la voie publique
  • Au domicile du prospect

En magasin. Sur le lieu de vente, les conditions sont généralement plus favorables au commerçant, car il peut aisément théâtraliser sa démonstration et faire en sorte que le client soit acteur de son acte d’achat, tout en s’assurant de maximiser son niveau de concentration. En quelque sorte, le vendeur est « chez lui » et a donc un avantage sur le client.

Sur la voie publique. Vendre sur la voie publique revient davantage à réaliser une négociation  » en terrain neutre « . En effet, les conditions de ventes sont plus contraignantes, notamment en raison des conditions météorologiques variables, ou encore par la présence de concurrents potentiels, par exemple, lors de marchés ou de foires. Or, le client doit faire la démarche de s’arrêter sur le stand, s’il souhaite réaliser un acte d’achat.

A domicile. Contrairement à la vente en magasin ou lors d’une vente sur la voie publique, la vente à domicile est davantage favorable au client. En effet, c’est lui qui dicte le rythme de la présentation, en fonction de ses contraintes personnelles (interaction avec les proches, appel téléphonique, etc.). La qualité de la démonstration devra donc être plus élevée, afin que le client y consacre toute son attention. En quelque sorte, le client a donc un avantage sur le vendeur.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous présente quels sont les pourcentages d’informations importantes sur un produit qu’un client retient après 3 heures ou 3 jours, en fonction du type et la qualité de la démonstration choisis.

Mesurer le coût d’opportunité grâce à la méthode SPIN

 

Tout d’abord, voici une définition du concept de «  coût d’opportunité » :

 » Le coût d’opportunité (ou coût d’option) est un concept économique qui permet de désigner la valeur de la meilleure option non réalisée ou le coût de l’investissement des ressources disponibles au détriment des investissements alternatifs disponibles. « , issue de « Les Définitions, le dico des définitions » (consulté le 14.11.2017)

En macroéconomie, l’analyse « coûts-bénéfices » (souvent abrégée ACB) propose 3 critères pour évaluer un coût d’opportunité lors d’une prise de décision:

  • Le renoncement à toute autre option
  • Le coût d’un investissement non réalisé
  • Le risque accepté de non rentabilité

Le renoncement. Lorsqu’une ou plusieurs solutions sont potentiellement envisageables, des critères macroéconomiques permettent de choisir la meilleure option à appliquer. Or, en terme économique, le fait de renoncer à une option au profit d’une autre peut représenter une perte, la plupart du temps intangible, car elle n’engendre pas de dépense réelle d’argent. Chaque renoncement constitue une part du coût d’opportunité.

L’investissement non réalisé. Pour mesurer le coût total d’un investissement non réalisé, il faut tenir compte de toutes les charges liées à cet investissement, comme s’il avait été réalisé. Une fois que toutes les dépenses ont été calculées, le bénéfice potentiel est ajouté aux pertes, de par le renoncement à cette option.

Le risque accepté. Chaque option représente un risque en terme de rentabilité. De ce fait, le coût d’opportunité peut également être estimé en tenant compte du risque accepté. Ce critère d’analyse permet de comparer le risque de plusieurs investissements possibles, au moment de la prise de décision. Pour que le gain estimé d’une solution choisie soit optimal, il doit être au moins égal au coût d’opportunité.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous présente la méthode SPIN, outil qui permet de mesurer quels sont les besoins du client et de lui permettre d’identifier les risques d’un renoncement à utiliser vos services, en fonction de sa situation, des problèmes à résoudre, du degré d’implication nécessaire et de ses besoins en paiement.

Les techniques de vente : 6 méthodes pour mieux vendre

 

Tout d’abord, voici une définition de ce que sont les techniques de vente :

 « Ensemble des techniques et méthodes à la disposition de la force de vente, afin de parvenir le plus efficacement possible à la vente du produit. », issue de e-marketing (consultée le 6.11.2017)

Pour qu’une technique de vente soit idéale, 3 éléments, constituant la plus-value du vendeur, doivent être aisément identifiables par le client :

  • Ses qualités humaines
  • Ses connaissances théoriques dans son secteur d’activité 
  • Son savoir-faire commercial

Les qualités humaines. Elles sont essentielles pour obtenir et conserver la confiance des clients tout au long de l’acte d’achat. Cette relation permet également de savoir à quel type d’argumentation un client est plus ou moins sensible.

Les connaissances théoriques. Plus le vendeur connaît ses produits, l’évolution de son secteur d’activité, ainsi que les offres proposées par les concurrents, plus il est en mesure d’affiner sa technique de vente, afin d’être considéré comme un expert par le client.

Le savoir-faire commercial. Lors d’une négociation, le client est sensible au choix et à la qualité des arguments émis par le vendeur. Par exemple, un  » geste commercial  » peut constituer un bon argument de vente, dans la mesure où le client en perçoit une réelle plus-value, en fonction de ses besoins.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous décrit 6 méthodes pour mieux vendre: « La peau de l’ours », « L’aiguillage »« Le ballon »« La bobine de ficelle », la méthode des 3 « oui »« La balance » et « Le crochet ».

 

Pourquoi les clients achètent-ils ?

 

Tout d’abord, voici une définition de l’expression  » motivation d’achat  » :
  » Une motivation d’achat est une raison poussant le consommateur à réaliser son acte d’achat. « , issue de « Définitions marketing, l’encyclopédie du marketing » (consulté le 31.10.2017)
Les mobiles d’achat peuvent se ranger selon 3 catégories :
  • Les motivations oblatives
  • Les motivations hédonistes
  • La recherche d’ auto-expression

Les oblatives. Faire plaisir à autrui, la plupart du temps, sous la forme d’un cadeau, correspond aussi bien à un achat ou à un service. Pour que l’expérience d’achat soit un succès, le vendeur doit identifier non seulement les besoins du client, mais également distinguer quel produit proposer en fonction du destinataire du cadeau. En effet, le client sera plus attentif à la qualité du produit proposé, du fait qu’il choisit de l’offrir, plutôt que d’effectuer un achat pour lui-même.

Les hédonistes. Similaires au principe de faire plaisir à autrui, les motivations hédonistes consistent à se faire plaisir. Certains achats sont soit effectués par nécessité, soit par envie. En fonction de ces deux critères, le vendeur peut adapter son argumentation, afin de renforcer la motivation d’achat. En effet, plus elle est élevée, plus le taux d’achat spontané augmente.

L’auto-expression. Avoir le dernier produit à la mode, pouvoir s’identifier à une catégorie de personnes, se sentir  » à la page « , notamment au moyen de l’acquisition de tel ou tel produit spécifique, tels sont quelques mobiles d’achat issus de l’auto-expression. Avec ce type de client, le vendeur choisit une argumentation adaptée afin de renforcer le sentiment d’ « importance » suite à l’acte d’achat.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David cite les 6 critères d’analyse des mobiles d’achat types, afin de cibler au mieux votre clientèle: la sécurité, l’affectivité, le bien-être, l’orgueil, la nouveauté, l’économie (SABONE).

Le stock… de l’argent qui dort…

 

Tout d’abord, voici une définition du mot stock:

« Le stock désigne l’ensemble des biens, possédés par une entreprise, qui ne sont pas encore consommés ou vendus. Une entreprise peut posséder différents types de stocks tels que des stocks de matière première, des produits en cours de fabrication, des produits manufacturés, prêts à être vendus, des produits défectueux qui doivent être réparés, des emballages. Le stock d’une entreprise est nécessaire pour son exploitation. Il est destiné à être vendu, à être utilisé dans le processus de production, à être réparé ou recyclé. », issu du Journal du net, www.journaldunet.com (consulté le 23.10.2017)

Comme le rappelle cette définition, tout ce qui est stocké est appelé à être vendu ou utilisé. De ce fait, pour assurer une gestion des stocks optimale, il est recommandé de saisonnaliser la quantité de chaque produit mis à la disposition du client, en fonction de la demande.

Au niveau de l’offre et de la demande, 3 cas de figure peuvent se produire, en ce qui concerne le stock disponible pour la vente:

  • Trop de demande par rapport à l’offre
  • Pas assez de demande par rapport à l’offre
  • Suffisamment de demande par rapport à l’offre

Trop de demande. Dans ce genre de situation, le stock disponible d’un produit est inférieur à la quantité demandée par les clients. Le risque principal est qu’il y ait du retard au niveau des délais de livraisons. Pour pallier à ce problème, il est possible de mettre en place des mesures de réapprovisionnement du stock en fonction de la fréquence de livraison et des quantités fournies pour chaque produit commandé, tout en tenant compte des contraintes d’exploitation.

Pas assez de demande. Dans ce cas, le stock disponible d’un produit est supérieur à la quantité demandée par les clients. Le risque principal est que cet excédent de stock engendre des coûts d’exploitation élevés. De plus, certains produits ne peuvent être conservés à long terme et doivent être retirés de la vente au-delà d’un certain temps. Pour pallier à ce problème, il est possible de mettre en place des mesures de communication et de promotion auprès des clients, en ciblant davantage leur comportement d’achat et leur besoins.

Suffisamment de demande. Lorsque le stock disponible d’un produit correspond à la quantité demandée par les clients, cette situation est appelée « idéale ». Or, le risque principal est que la gestion des stocks, très souvent à flux tendu, ne puisse supporter la cadence imposée par l’évolution du marché à moyen ou long terme. Pour pallier à ce problème, il est possible de mettre en place des indicateurs clés de performance qui, sur une période donnée, permettent d’analyser des éléments essentiels, comme l’évolution du stock, du taux de conversion, ou encore du chiffre d’affaire à réaliser par jour.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous propose quelques pistes de réflexion pour établir une gestion des stocks idéale, en vue de réaliser chaque mois un chiffre d’affaires bien précis, tout en étant en flux tendu.

Comment augmenter vos ventes en écoutant vos clients ?

 

Tout d’abord, voici une définition de la vente complémentaire :

« La vente complémentaire consiste à vendre un produit complémentaire, un accessoire ou service lié au produit principal acheté. Il s’agit par exemple du « traditionnel » tube de cirage vendu avec une paire de chaussures ou de la non moins « traditionnelle » cravate vendue avec une chemise. », issue de www.definitions-marketing.com (consulté le 16.10.2017)

Pour réaliser une vente complémentaire de qualité, 3 aspects sont à analyser:

L’aménagement. Comme pour un produit principal, la promotion des produits complémentaires est essentielle. En créant des secteurs thématiques au sein de l’espace de vente, le client peut facilement identifier quel produit serait susceptible de compléter son besoin et ainsi effectuer un achat d’impulsion.

Le choix. Pour chaque produit principal, plusieurs produits complémentaires sont possibles. Il est donc recommandé de proposer plusieurs offres complémentaires, afin de cibler une large clientèle. Bien que le produit complémentaire puisse être vendu séparément ou en « package », son prix doit rester peu élevé.

Le vendeur. Lors du parcours d’achat, le vendeur joue un rôle essentiel. En effet, en établissant une relation de confiance avec le client, il saura trouver les mots pour le convaincre que tel ou tel produit complémentaire correspond à ses besoins, sans pour autant lui forcer la main. De plus, lors d’une vente en  « package », la réduction octroyée au client sur le prix de vente, par rapport au prix de chaque produit vendu séparément, représente un argument auquel le client accorde de l’importance.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David propose quelques pistes pour définir les besoins complémentaires du client, au moyen de questions ouvertes qualitatives et ainsi réaliser davantage de ventes complémentaires.

Se mettre à la place du client : un outil de performance en soi

 

« La première impression est toujours la bonne, surtout quand elle est mauvaise. », Henri Jeanson, journaliste, scénariste, dialoguiste et réalisateur français (1900-1970).

Cette Maxime concerne toutes les situations de la vie courante. En effet, nous effectuons souvent des choix basés sur notre première impression, notamment lors d’une expérience d’achat, quel qu’en soit le domaine.

Pour que l’impression du client soit positive durant les premières secondes, il doit pouvoir obtenir un maximum d’informations sur la qualité et le prix du produit qu’il désire acheter, afin d’être séduit et poursuivre son expérience d’achat. Sinon, il se concentrera sur un autre produit.

Parmi les aspects majeurs du Floor management, 3 thèmes sont particulièrement importants:

  • Le décryptage des difficultés du client lors du parcours d’achat
  • La reconnaissance des lacunes à combler d’un point de vente
  • Le suivi des points de contrôle au quotidien

Les difficultés. La perception du parcours d’achat peut varier si on se place du point de vue du client par rapport à la vision du commerçant. En se mettant à la place du client, il est possible de décrypter quelles sont les difficultés que le client risque de rencontrer. Chaque difficulté représente potentiellement un risque d’interruption de l’acte d’achat.

Les lacunes à combler. Après avoir identifié les besoins et les difficultés lors de la phase de décryptage, l’analyse permet d’identifier quelles sont les solutions à mettre en place à long terme pour renforcer la qualité du service client, en fonction des contraintes d’exploitation. Plus la qualité du service client est élevée, plus le nombre de ventes augmente.

Les points de contrôle. Plusieurs points de contrôle permettent d’analyser l’activité du point de vente au quotidien: gestion des stocks, nombre de clients en magasin, taux de conversion, etc. Plus la grille d’analyse est fine, plus il est aisé d’anticiper les risques en terme de productivité et ainsi garantir le maintien d’un seuil de rentabilité minimum.

Dans notre conseil-vidéo du jour, David vous propos un exemple de mise en situation à la place du client, pour détecter le ressenti et ainsi mieux comprendre le comportement du client.

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